Page:Tolstoï - Le Prince Nekhlioudov.djvu/137

Cette page a été validée par deux contributeurs.

en Dieu, ajouta-t-il, de plus en plus agité et jetant les yeux sur l’icône, que je perde la vue, que je m’effondre sur place si je possède autre chose que les quinze roubles rapportés par Iliouchka… Et j’ai à payer l’impôt par âme, vous le savez bien… Puis la construction de l’izba en a mangé, de l’argent…

— C’est bien, c’est bien, dit le barine en se levant. Adieu, patron.