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VIII


Et notez encore ce mensonge de tout le monde : la façon dont se font nos mariages. Que devrait-il y avoir de plus naturel : la jeune fille est mûre, il faut la marier. Quoi de plus simple, si la jeune personne n’est pas un monstre et s’il se trouve des hommes qui désirent se marier ? Eh bien ! non, c’est ici que commence une nouvelle hypocrisie.

Jadis, quand la vierge arrivait à l’âge favorable, les parents, qui ne s’emballaient pas pour un veston et qui en même temps aimaient leur fille non moins qu’eux-mêmes,