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— Mais s’il en est ainsi, dis-je, il en résulte qu’on peut aimer sa femme seulement une fois tous les deux ans… Et comme l’homme…

— Et l’homme en a besoin ? Au moins les prêtres de la science nous l’assurent. Je les forcerais, ces sacerdos, à remplir l’emploi de ces femmes qui, d’après leur avis, sont nécessaires à l’homme. Qu’est-ce qu’ils chanteraient alors ? Assurez l’homme qu’il a besoin d’eau-de-vie, de tabac, d’opium, et il croira ces poisons nécessaires. Il en résulte que Dieu n’a pas su arranger l’affaire comme il faut, puisque, sans demander l’avis des sacerdos, il a combiné ainsi la chose. L’homme a besoin, ainsi ont-ils décidé, de satisfaire sa volupté, et voilà que cette fonction est dérangée par la naissance et l’allaitement des enfants.

Que faire alors ? Mais s’adresser aux sacerdos, ils arrangeront tout, et ils ont vraiment trouvé. Quand donc seront découronnées ces canailles avec leurs mensonges ? Il est bien temps ! Nous en avons jusque là ! On devient