suite de circonstances est entrée dans nos mœurs cette habitude devenue une seconde nature. Envisageons la vie des diverses classes de la société dans toute son impudeur. N’est-ce pas la vie d’une maison publique ?… Vous pensez autrement ?… Je vais vous le prouver, dit-il, prévenant mon objection.
D’après vous, les femmes de notre société ont d’autres intérêts que les femmes tombées ? Je prétends que non. En voici la preuve. Quand des personnes poursuivent un autre but, vivent d’une autre vie, ces dissemblances doivent paraître à l’extérieur, il doit être tout différent. Comparez ces malheureuses avec les femmes de la plus haute société : mêmes toilettes, mêmes manières, mêmes parfums, même étalage de bras, d’épaules et de seins, mêmes passions pour les diamants et les bijoux, mêmes plaisirs,