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lement on ne peut les laisser faire, mais on ne peut même rester calme un seul instant en leur présence. C’est en cet état d’exaltation, produit par les fêtes franco-russes, que se trouvent à présent la société française et la société russe. Or, ces gens que vient d’atteindre l’épidémie psychopathique ont en leurs mains les plus terribles instruments de mort et de destruction.
Oui, sans doute, dans tous les discours, dans tous les toasts prononcés durant les fêtes, dans tous les comptes rendus qui en ont été faits, on n’a cessé de répéter que tout ce qui se passait devait avoir pour effet d’assurer la paix du monde. Et même, les partisans de la guerre n’ont pas parlé de leur haine pour les ravisseurs de pro-