— À moi 5[1], avec la croix, et à Olhuchka quel grand zéro on a administré !
— Et à moi 4 !… crie un autre.
C’est pour eux-mêmes qu’elles sont établies, pour qu’ils y trouvent une appréciation de leur travail ; et ils ne témoignent leur mécontentement que si cette appréciation est injuste. Malheur au maître qui, n’ayant point remarqué les efforts d’un élève, lui donne moins qu’il ne mérite ! L’enfant ne cesse de le harceler, il pleure à chaudes larmes s’il ne réussit pas à obtenir une modification.
Les notes mauvaises, mais méritées, subsistent malgré toute protestation. Les notes sont, d’ailleurs, un vestige de notre organisation primitive, et elles commencent à tomber d’elles-mêmes en désuétude.
Pour la première leçon qui suit la récréation, dans l’après-midi, on se rassemble
- ↑ En Russie, 5 représente la meilleure note.