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Livres sur le peuple. — Le Sorcier, de Gogol. — Commentaires des enfants 
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XVII. Écriture. — Grammaire. — Calligraphie. — Exercices 
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XVIII. Composition. — L’écolier écrivain. — Compositions d’un mauvais élève. — Composition de Fedka 
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DEUXIÈME ÉTUDE


I. Comment on étudie l’histoire sainte et l’histoire russe. — Pas d’interrogation individuelle. — Pas de récitation. — Chaque élève raconte avec des mots à lui. — Inutilité d’apprendre l’art de répondre aux examens. — Les élèves répondent tous ensemble. — Premiers effets heureux de cette liberté 
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II. L’esprit de l’école. — Il faut savoir diriger l’ardeur des écoliers. — Il ne faut pas que le plaisir du bruit devienne leur principal souci. — L’épanouissement de la compréhension 
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III. Narrations écrites. — Le cahier de M. — Le cahier de L. F. — Le cahier de T. F. 
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IV. Pourquoi on choisit tout d’abord l’Ancien Testament. — Il ne faut jamais retrancher un mot. — Une bible populaire 
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V. Pas de manuels rédigés d’après la Bible. — Étude du Nouveau Testament. — Cahiers de narrations 
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VI. L’histoire générale. — L’histoire de la Russie. — La période féodale et ses difficultés. — Cahiers de narrations 
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VII. Le sentiment national rend plus facile l’enseignement froid et ennuyeux de l’histoire russe. — Il faudrait commencer l’étude de l’histoire par l’histoire contemporaine 
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