de villes, étaient des récits, mais pas la géographie. La géographie était uniquement ce qui s’apprenait par cœur. De tous les livres nouveaux, Groubé, Biernodski, — pas un n’était intéressant. Un livre oublié de tous, qui ressemble à la géographie, se lisait mieux que les autres ; le meilleur modèle, à mon sens, de ce qu’il faut faire pour préparer les enfants à l’étude de la géographie, c’est-à-dire pour éveiller en eux le goût de la géographie. Ce livre c’est Parley, traduction russe de 1837. Il peut se lire, mais c’est plutôt un guide pour l’instituteur qui raconte, d’après ce livre, ce qu’il sait sur chaque pays et sur chaque ville. Les enfants racontent, mais ils retiennent rarement le nom et la position sur la carte du pays où se passe l’événement raconté ; l’événement seul leur reste dans l’esprit la plupart du temps.
Cependant, dans ces derniers temps, malgré tout l’art avec lequel ce livre déguise