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— N’y en a-t-il plus ?
— Non.
Et tous de s’élancer dans l’escalier, qui jurant de rendre la pareille aux Français, qui invectivant l’Allemand, qui répétant comment Koutouzov s’était revanché.
— Vous avez raconté absolument à la russe, me disait le soir l’Allemand contre lequel on avait poussé des « ouf ! » Si vous l’entendiez raconter chez nous, cette histoire ! Vous n’avez rien dit des batailles allemandes pour la liberté.
Je tombai d’accord que mon récit n’était pas de l’histoire, mais un conte propre à éveiller le sentiment national.
Donc, en tant qu’enseignement de l’histoire, cet essai n’est pas plus heureux que le premier.