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faisant un pas, il dit avec un geste simple :
— Adieu.
Il me sembla plus que jamais alors que je lui avais fait de la peine, et j’en fus toute triste. Nous le reconduisîmes, Macha et moi, jusqu’au perron et nous restâmes dans la cour, regardant du côté du chemin ou il avait disparu. Quand on eut cessé d’entendre le dernier piétinement de son cheval, je me promenai autour de la terrasse, puis je me remis à contempler le jardin, et à travers la brume humide au sein de laquelle nageaient tous les bruits de la nuit, je demeurai longtemps encore à voir et à écouter tout ce que ma fantaisie me fit écouter et voir.
Il revint une seconde et une troisième fois, et l’embarras que m’avait fait ressentir l’étrange entretien survenu entre nous ne