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toujours, non pas de lui, mais de l’emploi de l’été suivant, du lieu où nous passerions l’hiver et de la façon de le passer. Grosse question ; et pourquoi ? Pour moi, il me semblait aussi simple qu’évident que la vie devait consister à être heureuse, et dans l’avenir il ne m’était pas possible de me figurer autre chose que le bonheur, comme si tout à coup notre vieille et sombre demeure de Pokrovski venait de se remplir de vie et de lumière…