truction, c’est-à-dire les sciences les plus diverses qui, par une voie quelconque, conduiront les hommes à l’équité et à la vie morale ; mais il faut aussi qu’ils comprennent que, pour la bonne vie, la religion est nécessaire, que cette religion existe déjà et vit dans le cœur des hommes de notre temps. Et que ceux qui, consciemment ou non, étourdissent le peuple par les superstitions ecclésiastiques, cessent de le faire et comprennent que dans le christianisme, ce qui est important et obligatoire, c’est non le baptême, la communion, les dogmes, etc., mais l’amour de Dieu et du prochain, l’accomplissement du précepte : agis envers les autres comme tu voudrais qu’on agit envers toi, et qu’en cela est toute la loi et les prophètes.
Qu’ils comprennent cela, les faux chrétiens, comme les hommes de science, qu’ils enseignent aux enfants et aux ignorants ces vérités simples, claires et nécessaires, comme ils enseignent maintenant leurs propositions compliquées, embrouillées et inutiles, alors tous les hommes comprendront de la même façon le sens de la vie et reconnaîtront les mêmes devoirs qui en découlent.