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86 CORRESPONDANCE INÉDITE me réjouis de votre courage à la débrouiller coûte que coûte. J’ai toujours remarqué que cela vous tourmentait, et bien que ne pouvant comprendre qu`il y eût ici à se tourmenter, je sentais que cela devait avoir une grande in- fluence sur toute votre vie. La seule chose que nous ignorons, c`est de savoir si cette intluence sera bonne ou mauvaise, puisque nous ne sa- vons pas ce qui serait dans l`autre cas. Pour moi, l’inllueuce est sûrement bonne, parce que l’autre Chinchine, je ne le connais pas, mais je connais Fel-Chinchine, que je connais et aime. Je me hâte de vous écrire, parce que je pars |;out de suite à Moscou, et ne veux pas laisser votre lettre sans réponse. Je suis très heureux que vous n’ayez rien donné dans cet ignoble recueil littéraire. Non seulement c’est stupide, mais effronté et vilain. Je suis enchanté que vous et moi n`y ligurions pas. Ma femme vous remercie pour votre bon souvenir. Vôtre de toute mon âme, L. ToLs·1·0î.