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LETTRES A FET 57 Au revoir, cher ami. Je vous embrasse et baise la main de Marie Pétrovna. Serrez de ma part la main de Borissov, chez qui _j`e<père aller en automne. J`ad1·esse cette lettre à Mtzensk, puisque vous êtes là·bas pour les élections. Je désire tant vous voir que _j’irais chez vous si c`etait possible. Venez chez nous au moins pour un jour. L. ToLs1·oî. 5 mars 1869. Au nom de Dieu, ne changez pas d'idée, cher ami! Du 13 au 14 les chevaux vous atlendront à lassenki, sans quoi, il se peut qu`à. notre grand étonnement nous nous rencontrions dans l`autre monde : « Tiens, vous êtes déja ici, Alanassi Al`anassievi‘|;cl1! » Je suis coupable de ne pas vous avoir écrit, ~mais ne m’en punissez pas, et ne venez pas pour·un jour mais pour deux. Nous avons beaucoup ai causer. I