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A M®AME... .295 quemeiit, en pron nçsmt des apwroles indignes et mensongèzres; à ·a:tten1‘lre servilement, en unîlïorme, le réception dn mhnistue; à :s'ins— crire dans ln garde penda11t:le:sa¤re.; ·à =fa·i·re, pour les convenanaces, des actes ·de dévotion; à demander eau chef ele la censure s'il peut ou non exîpnimer telles pensées, etc., un Ete] hoemxme nleët iplus bien clangereux pour le gouver- .nemen1t. Alexamdre all disait .: ales libéraux ne sont pesmtazngwemeux pour .moi, cm je sais q1»1‘o11.pem tous ales xwheter, sinon par l’m2ge'mt, du moins par les !h'0I1ll€`5Ml'S.. Tous èles hommes qui puzrticipent au gom<ver— nement, qui ëtmveillent sous se ·di1re.cti·on, en feigînnxrrt de lutter, peuvent tromper iemo- mêmres et zlemes C1i)~pGî[lSB'lLI“S, iceux qui Lwttent comme eux ssawent indubitablement, wpwr ale zeontrepoiüs qmfils zfont, qnîils ne tirrent lpaset n"-en ont que lïair. Notre gouvernement sait cela; par expérience., il aconstwte souvent Jlelticenëlte edu contrepoids rates cl1i:bëmn>u»c.,¤«et il _ aemnnegilzit ses =œ1.1vzres, absolument comveicnou qw1’1J;~Vec *e11x·on peut feire tout.