Page:Tolstoï - Correspondance inédite.djvu/197

Cette page n’a pas encore été corrigée

LETTRES .\ TÉNÉROMO 487 D’abord, elle craignait les souvenirs à las- naia Poliana, mais, maintenant, elle a décidé d’y partir; et le voyage à l’étranger est remis. ` Je voudrais ardemment pouvoir lui trans- mettre une partie de-cette conscience religieuse que j’ai un faible degré cependant, mais cependant à un tel degré qui me donne la pos- sibilité de m’elever parfois au-dess-us des dou- le-urs de la vie). Je sais qu’ellc seule donne la vie. Mais j’espère qu’elle lui sera transmise, non par moi, sans doute, mais par Dieu, bien que cette conscience ne soit guère accessible aux femmes. (Eomment vivez-vous? Comment vont les enta-nts et 1¥n·na Lvovna? En attendant, au· revoir. l l" juin 1894. J’ai—eu de vos nouvelles, cher Isaac Borisso- witch, par Mm V... Cest une brave personne qui travaille dans le monde et qui est très active. Vous fera-t-on obstacle ou non, ce que vous êtes parvenu à faire est très bien.