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Lnrrnas A 'rENEuoMo wo cile et humiliant, selon l’apprécia·tion du monde, plus le chrétien le saisit avec joie, considérant cette œuvre comme ce même pain qu’il demande au Père céleste, etplus le pha- risien emploie de ruses pour s’en détourner, cherchant le travail le plus facile et le plus estimé des hommes, et qui lui procu1·e la jus- tification du mensonge et de l’oisiveté. Je vous envoie deux beaux livres de P0s2·ed— nik* ainsi que mon travail « Sur la vie >>. Quand vous l’aurez recopié, renvoyez-le—moi. Octobre 1889. J'ai reçu votre lettre, cher ami lsaacBo1·isso-- vitch. Elle m’a tait une pénible impression. Est-il possible que l'œuvre de Dieu“ s’arrête ctmême échoue complètement faute d'argent? J’ai beaucoup réfléchi à cette question et non seulement beaucoup rélléchi, mais _i’en ai L Maison d’éditîons fondée par Tolstoï et ses amis. · _2. ll s'ugiss0.1t de fonder une communauté dïntellcctucls près d‘E|îsabethgrad. 15