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H52 COHl\ES‘PONDANCE INÉUITE que ce soit vous qui m’écriviez le premier. En effet, depuis longtemps je voulais vous écrire. Je me souviens souvent de vous et vous aime, ainsi que tous les vôtres. Boutkevitch n`esL|;ou_jours pas relache, mal- gré que le procureur m'ai·t dit qu’il n’était nullement compromis. J’ai vu son frère. Ses parents ne sinquietent pas, mais pour lui c’est peut-être tres pénible. Ce que vous m’écrivez de vous m`a fait un gramrd plaisir. Il faut agir ainsi. Non sewlemerrt il le fauft, mai-s on ne peut faire autrement. Moi e suis tou_i0uu‘s occupe de morm travail « Sur la vie et la mort », je me puis m'en·détacher sans l’a=v0i1· terminé. Je vis par ce travail, je ne sais si je fais mal, mais je ne puis l’abandonner. " Vôtre, - L. Torsroî. Juillet 1887. lil y alongtemps que je ne vous ai pas écrit, cher ami, mais e pense souvent à vous et vous