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LETTHES A FET t25 de votre article, et si vous êtes en bonne santé, vous vous occupez déja d’autre chose. Si vous m`avez pardonné, donnezmoi de vos nouvelles; à en juger par votre dernière lettre, votre sante menace de se gâter. Parlez- moi aussi de votre travail moral. Je vous en prie, ne soyez pas fâche contre moi. Nous vous aimons toujours comme aupa- ravant, et si je ne suis pas exact, ce n’est ' qu'un détail de mon caractère. J’ajourne de nouveau mon voyage chez vous. Pour le moment, je ne suis bon a rien. Mais si Dieu me permet de travailler et gie me fatiguer de travail cet hiver, si vous m’invitez, j’irai me reposer chez vous. Ma femme vous salue ainsi que·Marie Pé- trovna. Vôtre, L. Torsroï.

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