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LETTHES A FET 115 plus intimes sont si exactement comprises et mises à leur vraie place. Je voudrais bien que l’article fût publié. Tout ce temps je chasse et m’0ccupe de Yinstallation de notre personnel pédagogique pour l’l1iver. Je suis allé à Moscou pour cher- cher un précepteur et un gouverneur. Aujour- d’hui, je me sens tout détraqué. Vous n’ecrivez rien de vous-mème, c’est donc que vous allez bien. Notre salut à Marie Pétrovna. Vôtre, L. To1.s·roï. 27 janvier 1878. Malheureusement pour moi, cher Afanassi Afanassievitcli, vos_ suppositions ne sont pas toutes fondées. Je ne suis point au travail, et si je ne vous ai pas répondu, c’est que, tous ces demiers tempsrilai été` malade; _i’ai même gardé le lit plusieurs jours. Des malaises de toutes sortes les dents, le côté; mais le résul-