. LETTRES A FET H3 des nouvelles de votre santé, ne serait-cc que deux mots. Le salut de ma femme à vous et à Marie Pétrovna. Vôtre, L. Torsroï. te" septembre 1877. Ce matin j’ai apporté moi-même la réponse a votre lettre avec l’article, à la station Kos- lovka, et la j’ai trouvé votre lettre. J’ai avalé l’article de Bolgov et j`ai regretté seulement que ce ne soit pas un nouveau per- sonnage: ce serait un nouvel ami. J `ai envoyé l’artîcle à Strakhov. Je suis très triste à cause de vous, cher _ Afanassi Afanassiévitch, pour le sentiment qu'a dû provoquer en vous la dernière histoire dans votre famille. Mais je me console tou- jours pour moi et mes amis en pensant que tout va pour le mieux. Peut-être auriez-vous éprouvé un sentiment plus pénible. Maintenant vous êtes tranquille. 10.
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