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LETTBES A FET Ml ler seulement qu’on vous aime et vous attend à Iasnaia—Poliana. Mes amities à tous les vôtres. L. Tosnroï. 14 avril 1877. Votre dernière lettre, écrite à trois reprises, Dieu merci, n’est pas perdue. Chacune de vos lettres m’est chère et surtout une comme celle- ci. Vous ne croiriez pas quel plaisir m’a fait ce que vous dites dans votre avant—derniere lettre sur l’essence de la divinité. Je suis entièrement d’accord avec vous, et je voudrais vous dire beaucoup de choses, mais on ne peut le -dire dans une lettre, le temps manque. : Vous me parlez pour la premiere fois de la divinité-Dieu, tandis que moi, depuis long- temps déjà, je pense sans cesse à ce problème essentiel. Et ne dites pas qu’on ne peut y pen- l ser: non seulement on le peut, mais on le doit. Dans =tous les siècles, les hommes les meil-