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trouvent dans vos festins : vous n’avez aucun égard à l’œuvre du Seigneur et vous ne considérez point les ouvrages de ses mains.

« 18. Malheur à vous qui vous servez du mensonge comme de cordes pour traîner une longue suite d’iniquités, et qui tirez après vous le péché comme les traits emportent le chariot.

« 20. Malheur à vous qui dites que le mal est bien, et que le bien est mal ; qui donnez aux ténèbres le nom de lumière, et à la lumière le nom de ténèbres ; qui faites passer pour doux ce qui est amer, et pour amer ce qui est doux.

« 21. Malheur à vous qui êtes sages à vos propres yeux et qui êtes prudents devant vous-mêmes.

« 22. Malheur à vous qui êtes puissants à boire le vin et vaillants à vous enivrer. »

Nous lisons ces paroles et il nous semble qu’elles ne se rapportent pas à nous.