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UNE COUPE EN FORÊT

À ce moment, quelqu’un m’appela du dehors. C’était Maximov. Et comme, après avoir écouté les histoires variées des deux premiers retranchements, il m’en restait encore treize à avaler, j’étais bien aise de saisir cette occasion de rejoindre mon peloton. Trossenko sortit avec moi.

— Il ne fait que mentir ! me dit-il à quelques pas de la cabane. Il n’a pas même pris part à l’affaire des retranchements.

Et il se mit à rire avec tant de bonhomie, que je l’imitai.