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VII


L’ennemi, en effet, avait établi ses canons sur l’emplacement reconnu par les cavaliers tartares ; et, à chaque vingt ou trente minutes, il lançait un obus contre nos pionniers. Ma batterie fut envoyée en avant dans la clairière, avec ordre de riposter. Là-bas, à la lisière de la forêt, on voyait une petite fumée, on entendait une détonation, un sifflement, et l’obus tombait devant ou derrière nous. Le tir de l’ennemi était heureu-