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IV


Il tourna l’anneau, ouvrit la porte et pénétra dans le vestibule. La porte de la chambre était ouverte. À gauche se trouvait le poêle ; en face, le coin principal, où se trouvait l’étagère des icônes, — la table, — derrière la table, un banc, — sur le banc, une vieille femme vêtue seulement d’une chemise, les cheveux dénoués, la tête appuyée sur la table. Près d’elle, un petit garçon maigre, comme en cire, le ventre enflé. Il tirait la vieille par la manche en poussant de grands cris ; il lui demandait quelque chose.

Élysée entra dans la chambre. De mauvaises odeurs s’en exhalaient. Derrière le poêle, dans la soupente, il aperçut une femme couchée. Elle était étendue sur le ventre, et ne regardait rien, et râlait. Des convulsions écartaient et