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chez moi la prendre. Mais je ne sais si Dieu a béni mes efforts…
— Eh bien ! que Dieu soit loué ! que le Christ te sauve !
— J’y ai été de mes jambes, dit Efim après un moment de silence, mais je ne sais si j’y ai été de mon âme. Peut-être est-ce plutôt quelqu’un autre…
— C’est l’affaire de Dieu, compère ! C’est l’affaire de Dieu !
— J’ai visité aussi en revenant l’isba où tu es entré… Élysée, effrayé, lui coupa la parole :
— C’est l’affaire de Dieu, compère, c’est l’affaire de Dieu !… Viens-tu chez nous boire un peu de miel ?
Et Élysée, désireux de détourner la conversation, parla des affaires du ménage.
Efim poussa un soupir. Il s’abstint de rappeler à Élysée les gens de l’isba, et ce qu’il