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— C’est la volonté de Dieu ! Nous y passerons tous, répondit Guérassim en montrant ses dents blanches et serrées de paysan ; et, de l’air d’un homme surchargé de besogne, il ouvrit vivement la porte, appela le cocher, aida Piotr Ivanovitch à monter, et d’un bond retourna au perron, comme talonné par la pensée de ce qu’il avait encore à faire.
Piotr Ivanovitch aspira avec un plaisir particulier l’air frais, après l’odeur d’encens, de cadavre, et de phénol.
— Où monsieur ordonne-t-il d’aller ? demanda le cocher.
— Il n’est pas encore tard. J’irai chez Fedor Vassilievitch.
Il s’y rendit, et trouva en effet les joueurs à la fin du premier rob, de sorte qu’il put sans inconvénient prendre part au jeu comme cinquième.