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aussi calmée par cet amour et aussi accessible à toutes les joies de la vie. Mais au bout du quatrième mois de séparation, elle était prise d’accès de tristesse, qu’elle ne pouvait vaincre.

Elle se trouvait à plaindre, elle regrettait ce temps perdu pour elle, alors qu’elle se sentait si capable d’aimer et d’être aimée.

Dans la maison des Rostov on n’était pas gai.