Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol9.djvu/102

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

chez elle que chez les Rostov, bien qu’avec moins de hâte : elle y était habituée. Sa vieille personne, ses oreilles étaient aussi lavées, parfumées, poudrées, et, comme chez les Rostov, la vieille bonne, enthousiaste, admira la robe de sa maîtresse quand elle sortit du salon, dans sa robe jaune ornée du chiffre des demoiselles d’honneur.

Mademoiselle Peronskaïa loua les toilettes des Rostov, les Rostov louèrent son goût et sa toilette, et, en prenant des précautions pour les coiffures et les robes, à onze heures ils s’installèrent en voiture et partirent.