Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol8.djvu/445

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

prit les conditions habituelles de la vie, mais il savait que ce sentiment, qu’il ne pouvait développer, vivait en lui.

Cette rencontre avec Pierre fut pour le prince André l’époque à dater de laquelle, malgré la même vie extérieure, une vie intérieure nouvelle commença pour lui.