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d’une voix fausse, et, riant encore plus faux, il se leva de table.

La petite princesse, pendant toute la discussion et le reste du repas, se tut et regarda, effrayée, tantôt, la princesse Marie, tantôt son beau-père. Quand ils sortirent de table, elle prit sa belle-sœur par la main et l’emmena dans l’autre chambre.

Comme c’est un homme d’esprit votre père, — dit-elle, — c’est à cause de cela peut-être qu’il me fait peur.

— Ah ! il est si bon ! — répondit la princesse.