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val, » se trouve dans le volume intitulé, on ne sait pourquoi : Le Chant du Cygne, édité chez Perrin en 1889.


Le roman commencé, Les Décembristes, a aussi deux traductions, l’une incomplète (seulement le premier fragment) de M. Halperine-Kaminsky, dans le volume précité Le Chant du Cygne (?). L’autre traduction, faite par MM. Tseytline et E. Jaubert, a paru chez Savine en 1889, dans le volume Les Décembristes, accompagné du récit « Albert ».


P.-S. — Dans l’appendice du volume IV nous avons constaté une petite omission au sujet du récit : Une rencontre au détachement avec une connaissance de Moscou ; outre la traduction signalée, il y en a une autre due à M. Halperine-Kaminsky. Cette traduction, intitulée : « Une Rencontre au Caucase », se trouve dans le volume les Imitations (?) (Paul Ollendorf, 1900.)

Nous remercions M. F. Fénéon qui nous signale aussi une petite omission dans les notes bibliographiques : parmi les traductions de l’Incursion (tome III) et du Journal d’un Marqueur (tome V), nous avons omis de mentionner celles de M. Henry Olivier qui a traduit ces deux nouvelles sous les titres Le Joueur et Récit d’un Volontaire, et les a publiées dans cet ordre en un volume édité en 1887, par A. Dupret.

P. Birukov.