Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol37.djvu/335

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ludov, se rappelant la phrase du prince Kortchaguine, et tout ce monde oisif et opulent des Kortchaguine, avec leurs intérêts bas et mesquins. Et il éprouva la joie d’un voyageur qui découvre un monde nouveau, inconnu et magnifique.


FIN DE LA DEUXIÈME PARTIE