Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol36.djvu/237

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

répondit-elle en continuant son occupation habituelle.

Ces mots de la cabaretière donnèrent à Maslova envie de boire.

— Je voudrais bien boire, — dit-elle à Korableva. Elle essuya ses larmes avec les manches de sa chemise et ne laissa plus que de loin en loin échapper un sanglot.

— De l’eau de vie ? Eh bien, ça va, — dit Korableva.