Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol36.djvu/163

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

de sa nouvelle situation, attribua à la tension de ses nerfs ce sanglot imprévu, et les larmes qui emplissaient ses yeux. Il mit son pince-nez pour les cacher, puis tira son mouchoir et se moucha.

La crainte de l’opprobre qu’il encourrait si tous les gens présents au tribunal apprenaient sa conduite l’empêchait d’avoir conscience du travail intérieur qui s’opérait en lui. Et cette crainte était, dès le début, plus puissante que tout le reste.