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très beau et de très précieux qu’il ne retrouverait jamais. Et une douloureuse tristesse l’envahit.

— Adieu Katucha, et merci pour tout, dit-il, derrière le bonnet de Sophie Ivanovna, en montant dans la voiture.

— Adieu Dmitri Ivanovitch, — dit-elle de sa voix caressante ; et, s’efforçant de refouler les larmes qui commençaient à couler de ses yeux, elle s’enfuit dans le vestibule pour y pleurer à son aise.