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charrettes chargées de bois et de blessés, les Cosaques, l’artillerie, l’infanterie, les fusils et le bois sur les épaules, tous, bruyamment, en chantant, passèrent devant nous. Sur tous les visages se montraient l’entrain et le plaisir causés par le sentiment du danger passé et l’espoir du repos. Nous seuls et le 3e bataillon devions remettre au lendemain ces sentiments agréables.