tête. — « Je suis la maîtresse, qu’elle dit, la maison est à moi. Petit père voulait me marier avec lui. » Et ce qu’elle est méchante, grands dieux ! Quand elle se met en colère, elle serait capable de tout renverser.
Quelle vie que la tienne ! Et dire qu’il y en a qui sont jaloux de toi ! On dit que vous êtes riches, mais à ce que je vois, l’or n’empêche pas les larmes de couler.
Y a vraiment de quoi être jaloux ! Cette richesse, elle va s’en aller en fumée ! C’est inouï ce qu’il jette l’argent par les fenêtres.
Pourquoi l’as-tu laissé faire ? L’argent est à toi.
Ah ! si j’avais pu le prévoir ! J’ai fait une grande bêtise.
Moi, commère, à ta place, j’irais me plaindre au grand chef. L’argent est à toi. Comment ose-t-il le dépenser ? Des mœurs pareilles ne sont pas permises.
Par le temps qui court, on peut tout faire.
Oh ! commère, comme tu te laisses aller !