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Καὶ ἀλλά πρόβατα ἔχω, ἅ οὐϰ ἐστιν ἐϰ τὴς αὐλῆς, ταύτης ϰᾷϰεῖνά με δεῖ ἀγαγεῖν· ϰαὶ τῆς φωνῆς μου ἀϰούσουσι, ϰαὶ γενήσεται μία ποίμνη, εἶς ποιμήν.

Διά τοῦτο ὁ πατήρ με ὀγαπᾷ, ὅτι ἐγω τίθημι τὴν ψυχήν μου, ἵνα πάλιν λάβω αὐτὴν.

Οὐδεὶς αἵρει αὐτὴν ἀπ’ ἐμοῦ, ἀλλ’ ἐγώ τίθημι αὐτὴν ἀπ’ ἐμαυτοῦ· ἐξουσίαν ἐχω θεῖναι αὐτήν ϰαὶ ἐξουσίαν ἔχω πάλιν λαβεῖν αὐτήν· ταύτην τήν ἐντολήν ἔλαβον παρὰ τοῦ πατρός μου.


Jean, x, 11. Je suis le bon berger ; le bon berger donne sa vie pour ses brebis. Je suis le bon berger 1). Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
12. Mais le mercenaire, celui qui n’est point le berger et à qui les brebis n’appartiennent pas, voit venir le loup, et il abandonne les brebis et s’enfuit, et le loup ravit les brebis et les disperse. Mais le mercenaire n’est point le berger ; les brebis ne sont point à lui ; voit-il venir un loup, il abandonne les brebis et s’enfuit, et le loup ravit les brebis et les disperse.
13. Le mercenaire s’enfuit, parce qu’il est mercenaire, et qu’il ne se soucie point des brebis. Le mercenaire s’enfuit parce qu’il est mercenaire, et qu’il ne se soucie point des brebis.
14. Je suis le bon berger, et je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent. Je suis le bon berger ; je connais mes brebis et elles me connaissent.
15. Comme mon Père me connaît, et comme je connais mon Père, et je donne ma vie pour mes brebis. De même que le Père me connaît et je connais le Père, et je donne ma vie pour les brebis.
16. J’ai encore d’autres brebis qui ne sont pas de cette bergerie ; il faut aussi que je les amène, et elles entendront ma voix, et il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul berger. Et j’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de la même bergerie, il faut aussi que je les fasse sortir, et elles entendront ma voix, et il n’y aura qu’un seul troupeau et qu’un seul berger.
17. C’est pour cela que C’est pour cela que mon