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— De quoi aura-t-il peur ?

— Mais comment est-il possible, petit père, qu’un moujik qui appartient au maître déclare son argent ? Qui sait ? il peut perdre tout. Ainsi, il s’est associé avec l’aubergiste et il s’est trompé. Il ne peut pas aller en justice avec lui ! Et l’argent est perdu ! Et avec le seigneur, ce sera déjà tout à fait cuit, il n’y aura rien à faire.

— Oui, à cause de cela… — fit Nekhludov en rougissant. — Adieu nourrice.

— Adieu, petit père, Votre Excellence. Je vous remercie bien.