Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol2.djvu/363

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et, les larmes aux yeux, continuait d’agiter ses bras.) Toujours seule, notre nourricier. Mon vieux est malade, il est âgé et ne peut guère travailler et je suis toujours seule. Le roc même n’y résisterait pas : mieux vaudrait la mort, ce serait la fin. Il me faut nourrir ce vaurien ! Ah ! notre père ! Je n’ai déjà plus de forces ! Ma bru a succombé sous le travail, et pour moi ce sera de même !