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déjà avec calme à cette aventure, je fis la supposition assez vraisemblable, que Kolpikov, sentant qu’il pouvait enfin se jeter sur moi, s’était vengé, en présence d’un brun sans moustaches, de la gifle reçue quelques années avant, de même que moi, je m’étais vengé aussitôt du « mal élevé », sur l’innocent Doubkov.