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les reconnus et j’appris tout et pensai : « La mère
implorait pour ses enfants ; j’avais cru que sans
père ni mère les enfants devaient périr et voilà
qu’une femme, une étrangère, les a recueillies et
nourries. » Et quand cette femme pleura d’attendrissement
en parlant de ces petites étrangères
qu’elle choyait et plaignait, je vis en elle l’image
de Dieu et compris ce qui fait vivre les hommes.
Je compris que Dieu m’avait révélé la troisième
parole, qu’il me pardonnait, et je souris pour la
troisième fois.