Page:Tolstoï - Œuvres complètes, vol15.djvu/345

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

joyeux. Au retour, Lévine prit du côté du ruisseau, espérant que l’eau s’était écoulée. Là il effraya deux canards. « Il y a probablement des bécasses, » pensa-t-il, et juste au tournant de la maison, il rencontra son garde qui confirma cette supposition.

Lévine partit au trot vers la maison pour avoir le temps de dîner et de préparer son fusil pour le soir.