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rieur, du temps et des causes, nous arrivons aux lois. »

Dans le premier cas, il fallait renoncer à la conscience de l’immobilité inexistante dans l’espace et admettre le mouvement que nous ne sentons pas ; dans le cas présent, il est nécessaire de renoncer à la liberté qui n’existe pas et de reconnaître la dépendance que nous ne sentons pas.