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— Mais qu’avez-vous, comte ? Vous êtes tout changé.
— Ah ! ne me le demandez pas, ne me le demandez pas. Je ne le sais moi-même. Demain… Mais non. Adieu, adieu. Ce sont des temps affreux !
Et, s’éloignant de la voiture, il monta sur le trottoir.
Natacha longtemps encore se pencha à la portière, le regardant avec un sourire tendre, joyeux et un peu moqueur.