Page:Tissot - Princesses des lettres.djvu/236

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ayant senti que ces Èves nouvelles sont « riches en savoir, mais pauvres en bon sens, et par trop dépourvues de ce sentiment domestique qui est la force de l’épouse et la base de la famille », elle a poussé un cri d’alarme. Elle a dénoncé ces doctrines séduisantes, mais fausses, qui, écrit-elle encore, « offrent à la femme, le rôle de la mouche du coche », et, généreusement, avec une ardeur tout italienne, elle a pleuré des larmes sur « cette humanité future, à laquelle on voudrait ravir le saint idéal de la mère ».