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ÉPILOGUE.
Je l’ai promis, je vais me confesser,
Et c’est à vous, successeur de Saint Pierre,
Qu’il appartient de me débarrasser
Du lourd fardeau que je veux déposer.
« — Quoique bien jeune, hélas ! mon très-saint Père,
J’ai mérité le courroux du Seigneur.
Vous connaissez cette Capucinière !…
— Eh bien, mon fils ! — Eh bien ! j’en suis l’auteur.
— Vous avez fait cette œuvre abominable ?
— Oui, très-saint Père, elle me doit le jour :
Je me croyais inspiré par l’Amour,
Et, je le vois, je l’étais par le diable.
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