Page:Tisenhauz - Halina Oginska - vol1.djvu/319

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

partement, laissant les deux jeunes gens libres de se communiquer leurs sentiments en présence d’un discret témoin, madame Gorska, qui, en voyant Halina sourire au jeune Suédois, se disait à elle-même : C’est fort étonnant, elle sourit à présent ; elle fondait en larmes tout à l’heure. Il me serait aussi difficile de dire pourquoi elle pleurait que de deviner ce qui la réjouit en ce moment.


FIN DU TOME PREMIER.